Microsoft veut imposer Windows 10

Que Microsoft fasse tout mais vraiment tout pour les que les utilisateurs de Windows migrent vers la version 10, c’est un fait. Mais du côté hardware, Redmond pourrait également accentuer la pression. Si les nouveaux PC sortent évidemment avec Windows 10, il se pourrait que les nouveaux processeurs qui équipent la plupart des prochains appareils connectés ne soient compatibles qu’avec le dernier OS.

Le vice-président exécutif de la branche Windows and Devices,  Terry Myerson, sème un peu le doute quant au support des anciens Windows sur ces nouveaux processeurs dans un blog. « Tout au long de la conception de Windows 10, nous avons travaillé en étroite collaboration avec nos partenaires, y compris Intel, AMD, Nvidia, Qualcomm, sur l’ingénierie collaborative pour assurer que Windows 10 tire pleinement parti des nouvelles fonctionnalités des processeurs ».

On peut alors comprendre que Windows 7 et 8 ne seraient pas compatibles avec ces nouvelles familles de puces. Ou bien que ces OS ne pourront pas tirer 100% des capacités de l’OS. Il faut en effet rappeler que Windows 7 et 8 seront supportés jusqu’en janvier 2020 et janvier 2023, sauf pour Intel Skylake ou le support ne sera assuré que jusqu’en juillet 2017. Rappelons le cas des entreprises est différent.

Terry Myerson tente donc une nouvelle fois de mettre en avant Windows 10, soulignant les risques d’associer un processeur de dernière génération à d’anciennes versions de Windows, fin du support oblige. Tandis que Windows 10 est évidemment parfaitement adapté à ces nouvelles puces. Dans les faits, il sera néanmoins peu probable que les processeurs de dernière génération ne soient pas compatibles avec Windows 7 et 8. Même si toutes les performances ne seront peut-être pas au rendez-vous.

L’Europe veut de l’OpenSource pour ses institutions

Dans une résolution du mois d’octobre de cette année, approuvée par 342 voix contre 274, et 29 abstentions, le Parlement européen réaffirme son opposition à la surveillance électronique de masse des citoyens européens. Le 47e article appelle les institutions de l’Union européenne à migrer systématiquement vers des logiciels ouverts et à introduire l’Open Source comme critère de sélection obligatoire dans les passations de marchés publics IT. Une telle disposition ne saurait satisfaire toute l’industrie du logiciel et ses représentants. En revanche, l’April, qui s’était félicitée cet été du maintien, en France, de la préférence pour le format libre ODF dans le Référentiel général d’interopérabilité (RGI), parle d’un « signal fort, à l’attention de la Commission européenne ».

Un « signal fort »

Cet Article fait partie du volet « stratégie européenne en vue d’une plus grande indépendance informatique ». En plus de recommander une modification, de la législation des marchés publics pour améliorer la sécurité informatique des institutions européennes, le Parlement « appelle au remplacement par des logiciels ouverts contrôlables et vérifiables dans toutes les institutions de l’Union ». Et préconise « la sélection ‘open-source’ obligatoire dans toutes les procédures de passation de marchés dans le domaine des TIC à l’avenir, et à la mise à disposition rapide d’outils de cryptage ».

Contactez nous, si vous aussi vous voulez passer sur de l’Open-Source.

Apple abandonne WMware

Apple abandonne VMware pour les technologies libres KVM / OpenStack. Conséquence : un nouveau déploiement dans le domaine de la virtualisation.

Le contrat, qui se chiffrait à plusieurs millions de dollars, ne sera pas renouvelé. Est-ce dû à des soucis avec le modèle économique et les licences ? En tout cas, Apple n’est pas le seul à quitter VMware et d’autres grands groupes l’ont déjà fait pour migrer vers une solution open source.
De plus, la firme de Cupertino utilise déjà des solutions libres, comme le cluster Mesos pour son assistant vocal.
Cette fois, il semblerait que le désir de migration soit dû à des problèmes de prix, notamment des coûts supérieurs à ce qui était annoncé, ce qui ne serait pas une première.

Nous vous rappelons que nous pouvons vous conseiller et/ou vous accompagner sur des solutions OpenSources.

Microsoft aura sa propre distribution Linux

La Stratégie de développement Microsoft semble bel et bien avoir changé de cap depuis le départ de Steeve Balmer.
Alors que Satya Nadella, l’actuel Directeur Général de la compagnie, faisait récemment la démonstration d’apps Microsoft sur un iPhone, un billet de blog évoque aujourd’hui le travail de la marque sur une version de Linux. Oui, vous avez bien lu.

C’est dans ce billet de blog que Microsoft évoque travailler sur Linux dans le cadre d’un produit très spécifique : l’Azure Cloud Switch. Destiné aux professionnels, l’Azure Cloud Switch est un système d’exploitation cross-platform pour les centres de données, et pas n’importe lequel, puisqu’il s’agit d’un système d’exploitation bâti sur Linux.

Microsoft explique la raison d’être d’Azure Cloud Switch pour faire tourner des périphériques réseau comme des switches avec son propre logiciel. La marque semble en effet croire à un avenir du tout SDN, où le réseau est défini par le logiciel. L’approche retenue pour ACS permettrait de développer, débugger et corriger les errements logiciels plus rapidement, et d’adapter l’OS aux besoins très spécifiques qui peuvent survenir.

Le gouvernement Britannique migre sur OpenOffice

2014 : le gouvernement britannique fait part de son intention de migrer ses administrations vers le format Open Document format, un format ouvert initié par OpenOffice et depuis standardisé. Une décision prise au grand dam de Microsoft qui pèse de tout son poids pour convaincre les administrations de continuer à s’appuyer sur Office et ses solutions propriétaires.
Le gouvernement enfonce aujourd’hui le clou et publie plusieurs guides à destination des administrations, afin de les accompagner dans leur transition vers les nouveaux formats ouverts choisis pour l’administration.

Migration LibreOffice

En 2013 plusieurs grandes villes françaises avaient décidé de remplacer la suite bureautique Microsoft Office par sa concurrente LibreOffice.

Nantes en est à la moitié, et pour le moment … tout se passe très bien.
Avant de démarrer cette migration, plusieurs scénarios ont été envisagés. Selon des études, notamment sur les frais des licences et de la formation, il semblait plus économique de passer à une solution libre.
Le plus gros soucis rencontré se trouve dans la gestions des macros, mais les utilisateurs sont accompagnés et disposent d’un support individuel dans ces changements.

Si vous aussi, vous envisagez de migrer vers LibreOffice ou OpenOffice, contactez nous .

Migration sur Windows 10

Nous vous rappelons que pour ceux qui ont une licence valide sur Windows 7, 8 ou 8.1 vous pouvez migrer gratuitement sur Windows 10 depuis le 29 juillet 2015.
Avant cette migration, surtout pour les entreprises qui utilisent des logiciels métiers, bien vérifier que cette migration ne va pas entrainer des incompatibilités.
Au besoin, n’hésitez pas à nous contacter

Faille sur Android

Une nouvelle faille de sécurité découverte sur Android !!

Trend Micro, spécialiste en logiciel de sécurité annonce la découvre d’une nouvelle faille qui cette fois permet de rendre le téléphone non fonctionnel. En début de semaine, l’affaire avait déjà ébranlé l’aura de Google. Aucun correctif n’est encore disponible.

Quand cette faille est exploitée avec succès, le téléphone équipé d’Android devient silencieux. Plus de notification sur les messages, plus de sonnerie d’appel. Rien. Puis le téléphone se grippe, peu à peu, et s’arrête. La faille « est causée par un débordement d’entier lorsque le service de mediaserver analyse un fichier MKV (codec Matroska). Il lit la mémoire de tampon ou écrit des données à l’adresse NULL lors de l’analyse des données audio ».

Cette faille de sécurité peut être exploitée en incitant un internaute à visiter un site infecté, ou en lui faisant télécharger une application vérolée. Les versions d’Android impactées par cette faille courent d’Android 4.3 à Android 5.1.1.

Trend Micro a informé discrètement Google en mai dernier, mais l’entreprise n’aurait classé cette faille qu’en catégorie «vulnérabilité de faible priorité »,
Conséquence : aucun patch n’a été publié.

Progression en France de la cybercriminalité

D’après la vingtième étude annuelle réalisée par éditeur spécialisé dans la sécurité informatique, la cybercriminalité a encore progressé en France notamment sur les attaques réseaux, le phishing et les arnaques sur les réseaux sociaux.

Il y a des progressions dont on pourrait aisément se passer. De toute évidence, celle dans le classement des pays où la cybercriminalité est la plus active en est un exemple. Cette année, dans le classement international des risques informatique, la France obtient le 14ème rang mondial (États-Unis, Chine et Inde formant le tiercé de tête) et le 6ème rang européen. La France est également 6ème mondial sur le classement des attaques réseaux et 4ème sur celles par phishing.